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Il y a maintenant un peu plus d’un an que le Groupe Château Bellevue a implanté un robot dans la salle à manger de sa résidence de Val-Bélair et les résultats sont plus que concluants ! Le Groupe devait user d’ingéniosité afin de maintenir les standards de qualité à la salle à manger en raison d’un manque de main-d’œuvre. Le robot, apprécié des résidents et du personnel, aide au service des plats au moment des repas.

« Il était impératif de trouver des moyens de travailler de façon plus efficace avec un personnel réduit tout en maintenant les standards de service et assurer la sécurité de nos employés » affirme Mathieu Coulombe, vice-président aux opérations pour le Groupe Château Bellevue. « Une autre préoccupation était de diminuer le transport des plats par le personnel à travers les différentes sections de la salle à manger afin de diminuer les risques de blessures musculo-squelettiques », ajoute-t-il.

Un franc succès

Comme pour toute nouveauté, l’implantation de Bella au Château Bellevue de Val-Bélair a demandé une période d’adaptation. Mais rapidement, les résidents ont remarqué que les membres de l’équipe en salle à manger étaient plus détendus et avaient plus de temps à leur accorder.

L’implantation de Bella à Val-Bélair et maintenant à Shawinigan, est un tel succès, que la direction du Groupe Château Bellevue souhaite répéter l’expérience et même innover encore. « C’est certain que Bella va faire des petits ! Les résidences du Groupe Château Bellevue assisteront à la venue de plusieurs Bella au cours des prochains mois. Nous songeons même déjà à de nouvelles fonctionnalités qui pourront s’ajouter avec de nouveaux modèles de robots plus avancés », soutient Sylvain Grenier, directeur général du Groupe Château Bellevue. « Les possibilités sont nombreuses. Le robot pourrait prendre les commandes ou se rendre porter les repas directement dans les appartements. Et avec le développement constant de l’intelligence artificielle, nos robots pourront bientôt avoir des interactions avec nos résidents », complète M. Grenier.

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